Vers les horizons du moment
Vide doré
D'où et vers où sans se soucier
Ivre dérive dans l'espace
Vers les feux écarlates
Au-delà du pâle,
Sanguinolentes perspectives
Partout.
Toujours aussi gai, le poème :-). La photo aussi d'ailleurs. Sa rigueur est extrême, la bande supérieure est impeccablement calculée, et le piquet rouge complète cette austérité d'époque.
Merci. Le piquet est un bout de tuyauterie en plastique qui dépasse et qui vient de je-ne-sais-où. Merlimont en novembre, c'est, comment dire... : de saison.-)
Tout est bien clos, les lignes légèrement ondulantes et douces du premier plan se cassent sur une rugosité crevassée. Ce n'est même pas triste, juste mélancolique.
Toujours aussi gai, le poème :-). La photo aussi d'ailleurs.
RépondreSupprimerSa rigueur est extrême, la bande supérieure est impeccablement calculée, et le piquet rouge complète cette austérité d'époque.
Merci. Le piquet est un bout de tuyauterie en plastique qui dépasse et qui vient de je-ne-sais-où. Merlimont en novembre, c'est, comment dire... : de saison.-)
SupprimerTout est bien clos, les lignes légèrement ondulantes et douces du premier plan se cassent sur une rugosité crevassée. Ce n'est même pas triste, juste mélancolique.
RépondreSupprimerMerci Véronique. Mélancolique lui va bien, je pense.
SupprimerVeronique le dit mieux que je ne le dirais...
RépondreSupprimerRéécouter, tiens, La Mélancolie de Ferré.
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