"De l'audace, encore de l'audace, ..." Ces mots marquent la fin du discours de Danton à l'Assemblée Législative en 1792 visant à mobiliser les Français contre les armées d'émigrés de l'Ancien Régime, dirigées par Brunswick et l'Autriche.
L'avancée des armées monarchistes dirigées par Brunswick, et le fameux manifeste de ce dernier appelant au retour sur le trône de France de Louis XVI, vont provoquer ce discours de Danton et le réveil du peuple français, qui se traduit tout d'abord par les "Massacres de Septembre" (tueries dans les prisons parisiennes à cause d'une rumeur de complot), puis, le 20 septembre 1792, par la victoire des Armées françaises contre l'ennemi à Valmy.
Ô soldats de l'an II! Ô guerres! épopées! Contre les rois tirant ensemble leurs épées (...) Ils chantaient, ils allaient, l'âme sans épouvante Et les pieds sans souliers ! (...)
Oui, la lumière et les tonalités. On a souvent cette atmosphère lumineuse gris/bleu par ici et elle me fascine. Bon, ce n'est pas pour dire qu'on manque de soleil, hein!-)
Une compo comme j'aime, avec une audace soutenue...
RépondreSupprimer-)))). Merci pour l'audace, Christian.Où trouve-t-on cette tirade, déjà ? "De l'audace, toujours de l'audace!"
SupprimerFer et pierre en parallèle, un côté obstrué et l'autre ouvert...une très belle compo.
RépondreSupprimerMerci Véronique.
SupprimerSuperbe composition simple à la fois humide et aride, qui contient un parallélisme métal/roche épatant !
RépondreSupprimerUn merci placide et empreint du postulat d'Euclide.
Supprimer"De l'audace, encore de l'audace, ..." Ces mots marquent la fin du discours de Danton à l'Assemblée Législative en 1792 visant à mobiliser les Français contre les armées d'émigrés de l'Ancien Régime, dirigées par Brunswick et l'Autriche.
SupprimerL'avancée des armées monarchistes dirigées par Brunswick, et le fameux manifeste de ce dernier appelant au retour sur le trône de France de Louis XVI, vont provoquer ce discours de Danton et le réveil du peuple français, qui se traduit tout d'abord par les "Massacres de Septembre" (tueries dans les prisons parisiennes à cause d'une rumeur de complot), puis, le 20 septembre 1792, par la victoire des Armées françaises contre l'ennemi à Valmy.
Merci Christian. "... et la France est sauvée."
SupprimerÔ soldats de l'an II! Ô guerres! épopées!
Contre les rois tirant ensemble leurs épées
(...)
Ils chantaient, ils allaient, l'âme sans épouvante
Et les pieds sans souliers !
(...)
Super la compo bien sur, mais aussi la luminosité et les tonalités en harmonie. Cette empreinte de rouille jésus, c'est extra!
RépondreSupprimerOui, la lumière et les tonalités. On a souvent cette atmosphère lumineuse gris/bleu par ici et elle me fascine. Bon, ce n'est pas pour dire qu'on manque de soleil, hein!-)
Supprimer