Et aussi à ceux du poète sans papier, qui passant par Ostende, si loin de la lumière du Pays Basque, avait remarqué qu'"on voyait les chevaux d'la mer/ Qui fonçaient la têt' la première/Et qui fracassaient leur crinière...
Pour te faire marner : samedi 11 janvier, superbe journée, soleil, douceur et 1h30 passé sur la Banche, à l'abri du vent, accolés au mur qui sépare du port, soleil dans les yeux, sans bouger, les enfants qui jouent. Grande respiration, c'était le printemps.
Je marne... Ici c'est un hiver noir. Et la Bretagne me manque! Ca en deviendrait douloureux!Aux premiers rayons... Curieusement aujourd'hui reçu un mail de Ionna Vautrin, une jeune designeuse qui a fait une lampe qui s'appelle... Binic!
Belle succession en rythme des vagues et rien que les vagues! Une image qui se prête au propos baudelairien:
RépondreSupprimerHomme libre, toujours tu chériras la mer!
La mer est ton miroir; tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame,
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.
Bonne semaine lumineuse et sans vague à lames!
Et aussi à ceux du poète sans papier, qui passant par Ostende, si loin de la lumière du Pays Basque, avait remarqué qu'"on voyait les chevaux d'la mer/ Qui fonçaient la têt' la première/Et qui fracassaient leur crinière...
SupprimerLa mer, toujours recommencée , me manque!
SupprimerPour te faire marner : samedi 11 janvier, superbe journée, soleil, douceur et 1h30 passé sur la Banche, à l'abri du vent, accolés au mur qui sépare du port, soleil dans les yeux, sans bouger, les enfants qui jouent. Grande respiration, c'était le printemps.
SupprimerJe marne... Ici c'est un hiver noir. Et la Bretagne me manque! Ca en deviendrait douloureux!Aux premiers rayons...
SupprimerCurieusement aujourd'hui reçu un mail de Ionna Vautrin, une jeune designeuse qui a fait une lampe qui s'appelle... Binic!